Le narrateur évoque les années de ses 20 ans, en 1967, alors qu'il était coopérant en Algérie, à Djemâa-Saharidj, un village de Kabylie. Il revient sur son désir d'être prêtre ou de choisir un autre destin, et sur le rôle de Jacques Vallot dans son avenir.
A partir de documents administratifs et de papiers personnels, A. Rémond raconte le destin de trois figures essentielles dans sa vie : sa mère, son père et sa soeur Agnès. Il décrit l'amour entre ses parents, puis la guerre qui s'installe entre eux, emportant les huit enfants dans leur conflit. Il se souvient de sa soeur, décédée dans une clinique psychiatrique.
Le journaliste revient sur les étapes marquantes de son parcours, depuis son noviciat au Québec, à 18 ans, jusqu'à ses chroniques dans Télérama, en passant par ses études à Rome, sa découverte des luttes, son engagement au sein du PSU auprès de M. Rocard, la privatisation de TF1, etc.
Le journaliste revient sur les étapes marquantes de son parcours, depuis son noviciat au Québec, à 18 ans, jusqu'à ses chroniques dans Télérama, en passant par ses études à Rome, sa découverte des luttes, son engagement au sein du PSU auprès de M. Rocard, la privatisation de TF1, etc.
Après Chaque jour, Alain Rémond poursuit l'exploration de sa jeunesse : le petit puis le grand séminaire, apprenti moine dans un couvent québécois, puis à Rome en plein Vatican II. Saisi par l'indignation anticléricale, il se retrouve à Paris après mai 68. Fou de Bob Dylan, il vit en communauté. La contestation ne le quittera plus.